INTRODUCTION (Suite)
avant toute chose :
RECOMMANDATION:
Je voudrais mettre en garde les visiteurs de ce site, (En particulier les enfants et les personnes psychologiquement faible...) sur le fait que pratiquer des rituels, des incantations, des invocations, faire des cérémonies des sciences occultes n'est pas un "JEU", ces pratiques pourraient entraîner des conséquences très graves pour le pratiquant non initié... Il est important de lire ce qui suit pour bien comprendre les divers sujets traités sur ce site, ils trouvent tous une explication métaphysique et physique et ne sont pas des démonstrations irréelles. Malgré que cela blesse profondément certains primaires du scientisme, qui haïssent tout ce qui sort du raisonnement logique...
Concept d'espace et de temps: Carl Gustav Jung ( Professeur en psychologie qui a découvert l'inconscient aux côté de Sigmund Freud) écrivait : " Il semble que l'explication du paranormal doive être recherchée dans une critique de nos concepts d'espace et de temps... " Comment est-ce possible ? Nous avons le sentiment qu'il n'y a rien de plus défini que l'espace et le temps. Nous refusons absolument l'idée que l'esprit, même inconscient, puisse se déplacer dans l'espace et le temps... Mais qu'est ce que l'espace, qu'est-ce que le temps ? Encore actuellement, nous n'en savons absolument rien ! Je ne vais pas vous faire une démonstration physique. Il me suffira de vous dire qu'il n'y a aucune définition physique ni du temps ni de l'espace. En sciences, nous ne savons même pas ce que veut dire " le présent ". Il ne s'agit donc pas, comme le dit Jung, de critiquer nos concepts, mais de les construire. Car ils n'existent pas encore ! Vous vous souvenez d'Einstein. Il a montré la relativité du temps et de l'espace. Mais il croyait qu'il existait. En 1931, il a posé un principe, celui que temps et espace constituaient des grandeurs physiques. Il voulait montrer à l'époque que les propositions de la physique quantique étaient fausses. C'est ce qu'on a appelé le " paradoxe EPR ", reprenant les initiales des noms d'Einstein, de Podolsky et de Rozen. En effet, la physique quantique avait découvert que deux particules issues de la même réaction demeuraient liées quelle que soit la distance apparente qui les séparait. Longtemps, on n'a pas su qui avait raison. Mais un physicien français Alain Aspect, au Laboratoire de physique d'Orsay a démontré, en 1985, que c'était bien la physique quantique qui avait raison et non Einstein. Le temps et l'espace ne constituent donc pas des grandeurs physiques, ils n'existent pas en tant que tels.
Je suis certes un peu bref, mais ces conclusions semblent assez bien admises actuellement. L'idée n'est pas récente, car Leibniz, au XVIIème siècle, disait déjà que l'espace et le temps n'existaient qu'en relation avec la matière. En d'autres termes, s'il n'y a pas de matière, il n'a pas non plus de temps ni d'espace. Cette idée n'est pas antinomique avec ce que nous vivons. En effet, quand nous disons " cette règle a vingt centimètres ", on mesure de la matière. Sans la règle, pas de centimètres : les unités de longueur ne sont définies que par la matière. De même, nous disons " cette horloge indique que nous sommes ici depuis une demi-heure ". S'il n'y a pas d'horloge, il n'y a pas de temps. En fin de compte, les règles et les horloges ne sont que des mesures de l'état et du devenir de notre propre corps, de notre vieillissement.
La conscience et la science: Interrogations sur la conscience et la création! Après un panorama des théories scientifiques les plus en vogue, certaines thèses alternatives issues de philosophies vécues ouvrent une troisième voie face aux théories "monistes" (l'esprit et la matière forment une seule réalité) et "dualistes" (séparation entre esprit et matière) opposées et contradictoires dans leurs principes. De nombreuses pistes au carrefour de l'épistémologie, des Sciences cognitives et la philosophie sont ainsi ouvertes...
Astrophysicien de renommée internationale, Professeur à l'Université de Virginie, Trinh Xuan Thuan fait état d'un réglage minutieux des conditions originelles permettant, au cours de l'évolution cosmique, de mener jusqu'à la vie, à l'homme et à la conscience. Même considérant que la "mélodie" jouée par l'univers restera à jamais inconnaissable...
Pour Sir Roger W. Sperry - Prix Nobel de Physiologie et de Médecine (1981) -, dans la nouvelle révolution de la conscience, « les questions esprit-cerveau sont soulevées tout comme celles de la dispute holiste-réductionniste, toutes les deux empêtrées dans des abstractions philosophiques et sémantiques ; elles furent déjà l'objet de débats interminables et insolubles...
Sir William Crookes, le plus grand physicien des temps modernes, après avoir observé, pendant trois ans, les matérialisations de l'esprit de Katie King et les avoir photographiées, a déclaré :
" Je ne dis pas : cela est possible, je dis : cela est. "
Russell Wallace, de l'Académie Royale de Londres, dans son ouvrage intitulé : le Miracle et le moderne spiritualisme, a écrit : " J'étais un matérialiste si parfait et si éprouvé que je ne pouvais, en ce temps, trouver place dans ma pensée pour la conception d'une existence spirituelle... Les faits, néanmoins, sont choses opiniâtres : les faits m'ont vaincu. "
Professeur à l'Université paris 6, Jean-François Lambert renouvelle la vision des sciences cognitives en introduisant les notions d'incertitude et d'incomplétude dans le champ de la réflexion sur le cerveau et la conscience.
Sir Oliver Lodge, recteur de l'Université de Birmingham et membre de l'Académie royale, écrit, dans The Hilbert Journal
" Parlant pour mon compte et avec tout le sentiment de ma responsabilité, j'ai à constater que, comme résultat de mon investigation dans le psychisme, j'ai à la longue et tout à fait graduellement acquis la conviction, et suis maintenant convaincu, après plus de vingt ans d'études, non seulement que la persistance de l'existence personnelle est un fait, mais qu'une communication peut occasionnellement, mais avec difficulté et dans des conditions spéciales, nous parvenir à travers l'espace. "
Recteur de l'Académie de Vienne et fondateur du Général Evolution Research Group, Erwin Lazslo illustre la propension de l'homme à comprendre globalement le monde par la cosmologie. Passant en revue les théories les plus récentes, il révèle des analogies pertinentes avec les visions cosmogoniques des "Philosophies éternelles".
Physicien, ancien directeur du laboratoire de physique théorique et des particules élémentaires d'Orsay, Bernard d'Espagnat est aussi un grand penseur préoccupé par le contenu métaphysique des interprétations de la mécanique quantique. Avant de nous conduire à son concept de "réel voilé", il se livre à une critique du mécanicisme, en réfutant tour à tour : 1) la possibilité de décrire l'univers en des concepts familiers, 2) celle d'expliquer le tout par ses parties, 3) l'objectivité forte de la physique classique.
Le célèbre Lombroso, professeur à l'Université de Turin, écrivait dans la Lettura :
" Je suis forcé de formuler ma conviction que les phénomènes spirites sont d'une importance énorme et qu'il est du devoir de la science de diriger son attention sans délai sur ces manifestations. "
David Bohm, Professeur de physique théorique au Collège Birkbeck de Londres, nous livre ici la nécessité « d'assimiler la grande sagesse de l'ensemble du passé, celui de l'Orient comme celui de l'Occident, afin d'aboutir à des perceptions nouvelles et originales [...], et d'ouvrir la voie sur de nouvelles façons de penser. »
Brian D. Josephson, Professeur de Physique à l'Université de Cambridge, et prix Nobel de Physique 1973, tente d'unifier les visions scientifique et mystique de la nature. L’"expérience" spirituelle s'intégrera-t-elle à une science future au même titre que l'intuition mathématique ?
Fritjof Capra, Professeur de physique à l'Université de Berkeley, montre dans cet article comment la nouvelle approche de la physique bouleverse les idées dans tous les domaines : biologie, médecine, psychologie, économie etc. Il remet en cause les moyens ordinaires d'études et de recherches scientifiques et philosophiques.
Le professeur W. Barrett, de l'Université de Dublin, déclare (Annales des Sciences psychiques) :
" Sans doute, pour notre part, nous croyons qu'il y a quelque intelligence active à l'oeuvre derrière l'automatisme (écriture mécanique, transe et incorporations) et en dehors de celui-ci une intelligence, qui est plus probablement la personne décédée qu'elle affirme être, que toute autre chose que nous pouvons imaginer... Il est malaisé de trouver une autre solution au problème de ces messages et de ces " correspondances-croisées ", sans imaginer une tentative de coopération intelligente entre certains esprits désincarnés et les nôtres. "
Directeur des instituts internationaux de physique et de chimie Solvay à Bruxelles, Prix Nobel de chimie (1977), Ilya Prigogine évoque, au travers d'un brillant exposé sur les apports de la science au XXe siècle et sur la notion de complexité, la nouvelle alliance, en germe, entre science et culture.
Physicien au Commissariat à l'Energie Atomique (C.E.A./Saclay), Etienne Klein nous livre une réflexion épistémologique sur la science et la physique moderne. Science et religion peuvent se féconder l'une l'autre sans pour autant chercher une validation mutuelle.
E.L.Rossi, docteur en psychologie, dirige la revue américaine "psychological perspectives". Il montre l'importance du glissement conceptuel qui s'opère dans la vision scientifique du monde depuis le 18e siècle. Passant d'une vision de la nature ou dominait l'idée de matière, puis celle d'énergie, nous aboutirons à une conception axée sur la notion d'information ou d’"archétype"selon C.G. Jung.
Zoologiste et Botaniste, Hermann Poppelbaum dénonce le fait que « la recherche se trouve actuellement en présence d’un dilemme : ou bien elle renonce à la théorie de l'évolution, ou bien elle doit la soumettre à un réexamen complet »
Le Professeur Rémy Chauvin, biologiste et éthologue, nous livre, ses réflexions sur la doctrine de l'évolution. Il démontre que malgré l'insatisfaction que laissent les théories modernes de la biologie évolutionniste, il n'est pas encore possible de bâtir une théorie scientifique alternative au réductionnisme darwinien.
Le professeur en psychologie à l'Université Polytechnique Fédérale de Zurich, Carl Gustav Jung:
"Les archétypes nous arrivent sous forme de motifs en sagas, mythes et folklore, mais pourtant ces structures archétypiques sont empiriquement immesurables, et ils ont été critiqué par quelques d'adversaires scientifiques pour leur immesurabilité". Déjà vers l'an 1900, la notion d'âme était presque effacée du vocabulaire scientifique, mais Jung avait le courage de lutter contre ce courant de pensée (le matérialisme positiviste), et il continuait ses études dans le facteur humaine sans temps et sans espace qu'est l'âme.
Comme l'expérience et le savoir de Jung parviennent de divers domaines d'étude, la science autorisée a eu des difficultés à se relater scientifiquement aux théories de Jung ; y compris les sciences positivistes pour lesquelles la vérification empirique compte beaucoup. Mais les théories de Jung sont difficiles à vérifier, comme le psyché constitue un terrain immatériel. Néanmoins, Jung recevait beaucoup de vénération et de reconnaissance des scientifiques des disciplines voisines de la psychologie : de la religion, de l'anthropologie, de l'ésotérisme, de l'histoire d'art, de l'astrologie etc.
Certaines citations sont extraites de "La Revue 3e millénaire"
Que de questions, se posent les scientifiques! Les réponses seraient-elles dans les sciences occultes?Pour ma part, je suis convaincu que oui... Il est curieux vraiment de voir les puérilités auxquelles s'attachent les adversaires du spiritisme ; cela n'indique-t-il pas la pénurie de raisons sérieuses ? S'ils en avaient, ils ne manqueraient pas de les faire valoir. Que lui opposent-ils ? Des railleries, des dénégations, des calomnies ; mais des arguments péremptoires, aucun ; et la preuve qu'on ne lui a point encore trouvé de côté vulnérable, c'est que rien n'a arrêté sa marche ascendante. Ceci est un fait acquis à l'expérience et reconnu même par ses adversaires. Pour le ruiner, il ne suffisait pas de dire : cela n'est pas, cela est absurde ; il fallait prouver catégoriquement que les phénomènes n'existent pas, ne peuvent pas exister ; c'est ce que personne n'a fait à ce jour.
Les fantômes et la science
Définition:Le fantôme est une apparition surnaturelle d'un défunt. Une vision que l'on a interprétée comme la manifestation de l'esprit d'un mort, qui serait resté prisonnier sur terre ou reviendrait de l'au-delà soit pour accomplir une vengeance, soit pour aider des proches ou pour errer éternellement sur terre en punition de ses mauvaises actions passées.
Le fantômes, dont le nom est à rapprocher étymologiquement de fantasme, (fantaisie) (respectivement « apparition » et « vision » en grec), sont également appelés "spectres" ou "revenants".
L'imaginaire commun dans toutes les cultures est peuplé de telles créatures surnaturelles, qui servent de matière à de très nombreuses fables et légendes. Le romantisme, puisant son inspiration au mystique et ténébreux Moyen Âge, a remis au goût du jour les histoires macabres ou fantastiques, et de nombreux grands auteurs ont laissé courir leur imagination sur le thème des fantômes et des revenants.
Les scientifiques distinguent, d'une part, les apparitions "d'ectoplasme", obtenues avec certains médiums spirites au début du XXe siècle (Eusépia Palladino, Douglas D. Home, Rudi Schneider, Franek Kluski) dont certains chercheurs sérieux (Charles Richet, Schrenk-Notzing, Gustave Geley, etc.) créditent la réalité des phénomènes dans les conditions d'observations de l'époque ; et, d'autre part, la hantise des fantômes.
La science en général refuse d'admettre la réalité des fantômes, faute de preuve convaincante, et ce malgré les tentatives de certains chercheurs en parapsychologie ou métapsychique.
La voyance: Définitions: "Don de double vue". "Don surnaturel de voir le passé, le présent, l'avenir".
L’une des meilleures définitions de la voyance a été donnée par le chirurgien et biologiste Alexis Carrell dans son livre "L’homme, cet inconnu" :
“Les voyants saisissent, sans l’intervention des organes des sens, les pensées des autres personnes. Ils perçoivent aussi des événements plus ou moins éloignés dans l’espace et dans le temps. Cette faculté est exceptionnelle. Elle s’exerce sans effort, et de façon spontanée. Elle est simple à ceux qui la possèdent”.
La voyance est donc en quelque sorte un “sixième sens” ou une forme élevée d’intuition réservée à des privilégiés. Ce don est-il inné ? Nombreux sont ceux qui le pensent. Mais d’autres estiment que chacun de nous dispose de ce sixième sens plus ou moins enfoui, endormi dans les profondeurs de notre inconscient, et qu’il est possible de le réveiller par l’intermédiaire de certaines pratiques. A noter que certains animaux (Notamment les rats) ont ce don de sixième sens, très développé, alors pourquoi pas l'homme.
A l’heure actuelle, rien ne permet de trancher en faveur d’une hypothèse ou de l’autre.
On ne sait pas de quelle nature est “l’information psi”. Il s’agit probablement d’une énergie extrêmement faible et subtile.
On distingue deux formes de voyance :La voyance “pure”: Les voyants “purs” exercent directement leur don, sans intermédiaire.
La voyance “avec support”: Les autres voyants ont besoin de divers supports comme les cartes de tarot, le pendule, la boule de cristal, le ouija, etc. Ces supports de voyance n’ont rien de magique, ce ne sont que des accessoires qui permettent aux voyants de concrétiser leur don.
RECOMMANDATION:
Je voudrais mettre en garde les visiteurs de ce site, (En particulier les enfants et les personnes psychologiquement faible...) sur le fait que pratiquer des rituels, des incantations, des invocations, faire des cérémonies des sciences occultes n'est pas un "JEU", ces pratiques pourraient entraîner des conséquences très graves pour le pratiquant non initié... [u]
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